Témoignage d'un biologiste italien sur les filaments tombés du ciel
Voici une intéressante interview de Giorgio Pattera, biologiste, qui fut pendant 25 ans chef de service à l’hôpital de Parme, Italie
Nous remercions TheNowaytogo pour l’excellent travail de sous-titrage
http://www.amazon.fr/Chemtrails-ou-trac%C3%A9s-mort-Nenki/dp/2892392489
RépondreSupprimerChemtrails: Fiche toxicologique n° 125 - Baryum et composés que l'on trouve dans les chemtrails
RépondreSupprimerPublié le 19 Juin 2013 in chemtrails.fr, chemtrail, baryum, toxicologie
Chemtrails: Fiche toxicologique n° 125 - Baryum et composés que l'on trouve dans les chemtrails
Difficultés respiratoires
Augmentation de la tension artérielle
Changements du rythme cardiaque
Irritation de l'estomac
Faiblesses musculaires
Modifications des réflexes nerveux
Dommages au cerveau, au foie, aux reins et au cœur...
Toxicocinétique - Métabolisme
Les composés solubles des sels de baryum sont rapidement absorbés dans le tractus gastro-intestinal et les poumons. Le baryum absorbé se dépose dans les muscles, les poumons et surtout dans les os. Chez l'animal, l'absorption gastro-intestinale varie de 0,7 % à 85 % selon l'espèce (chlorure de baryum, environ 50 % chez le chien et 30% chez le rat et la souris), l'âge (absorption plus importante chez les animaux jeunes) et la nourriture (absorption diminuée en présence de nourriture dans le tractus gastro-intestinal). Chez le rat, après exposition orale à de faibles concentrations, l'absorption des sels de baryum est fonction de la solubilité de ces composés dans le milieu acide du tractus gastro-intestinal supérieur (chlorure > sulfate > carbonate); à fortes concentrations, l'absorption diminue car la conversion des sels de baryum en chlorure de baryum dans l'estomac est limitée.
Dans le tractus respiratoire, les composés du baryum sont bien absorbés, y compris ceux qui sont peu solubles dans l'eau. L'absorption nasale et alvéolaire de chlorure de baryum est estimée, chez le rat, à 60-80% de la dose, 4 h après l'exposition.
Deux équipes du CNRS et de l’Université de Strasbourg, menées par Nicolas Giuseppone 1 et Bernard Doudin2, ont réussi à fabriquer des fibres plastiques fortement conductrices, de quelques nanomètres d’épaisseur. Ces nano-fils, qui font l’objet d’un brevet déposé par le CNRS, se construisent « tout seuls » sous la seule action d’un flash lumineux ! Peu coûteux à obtenir et faciles à manipuler contrairement aux nanotubes de carbone3, ils allient les avantages des deux matériaux utilisés à ce jour pour conduire le courant électrique : les métaux et les polymères organiques plastiques4. En effet, leurs remarquables propriétés électriques sont proches de celles des métaux. De plus, ils sont légers et souples comme les plastiques. De quoi relever l’un des plus importants défis de l’électronique du 21e siècle : miniaturiser ses composants jusqu’à l’échelle nanométrique. Ces travaux sont publiés le 22 avril 2012 dans l’édition en ligne avancée de la revue Nature Chemistry. Prochaine étape : démontrer que ces fibres peuvent être intégrées industriellement dans des appareils électroniques comme les écrans souples, les cellules solaires, etc.
RépondreSupprimerLors de précédents travaux publiés en 20105, Nicolas Giuseppone et ses collègues étaient parvenus à obtenir pour la première fois des nano-fils. Pour ce faire, ils avaient modifié chimiquement des molécules de synthèse utilisées depuis plusieurs dizaines d’années dans l’industrie pour le processus de photocopie Xerox® : les « triarylamines ». A leur grande surprise, ils avaient observé qu’à la lumière et en solution, leurs nouvelles molécules s’empilaient spontanément de manière régulière pour former des fibres miniatures. Ces fils longs de quelques centaines de nanomètres (1 nm = 10-9 m, soit un milliardième de mètre), sont constitués par l’assemblage dit «supramoléculaire » de plusieurs milliers de molécules.
Les chercheurs ont ensuite étudié en détail, en collaboration avec l’équipe de Bernard Doudin, les propriétés électriques de leurs nano-fibres. Cette fois-ci, ils ont mis leurs molécules en contact avec un microcircuit électronique comportant des électrodes en or séparées de 100 nm. Puis ils ont appliqué un champ électrique entre celles-ci.
Nano-fibres1
© Réalisation graphique M. Maaloum, ICS (CNRS).
Vue d’artiste établie à partir d’une image réelle de microscopie à force atomique (AFM) montrant des fibres supramoléculaires conductrices piégées entre deux électrodes d’or séparées par une distance de 100 nm. Chaque fibre plastique est composée de plusieurs fibrilles, et capable de transporter les charges électriques avec la même efficacité qu’un métal.
Premier résultat important : sous l’action d’un flash lumineux, les fibres se construisent uniquement entre les électrodes. Seconde donnée surprenante : ces structures aussi légères et flexibles que les plastiques se sont révélées capables de transporter des densités de courant extraordinaires, supérieures à 2.106 Ampère par centimètre carré (A.cm-2), approchant celles des fils de cuivre. Cela, avec des résistances d’interfaces avec les métaux6 très faibles : 10 000 fois inférieures à celle des meilleurs polymères organiques actuels.
Désormais, l’objectif des chercheurs est de démontrer que leurs fibres peuvent être intégrées industriellement dans des appareils électroniques miniaturisés tels que les écrans souples, cellules solaires, transistors, nano-circuits imprimés, etc.
ENFER NANOTECHNOLOGIQUE? Qui realte aussi le travail de ces chercheurs a Strasbourg, et la maladie des morgellons.
Supprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=y4IPBzXfkYs&hd=1
Je vous propose cette video comme résumé de l'actualité, comprenant les résultats d'analyse de ANALYTIKA, avec aussi quelques traductions supplémentaires au travail de Nowaytogo, de propos de Giorgio Pattera, qui peuvent être utiles. Je vous conseille de visionner ce montage jusqu'au bout, et de comprendre son utilité a être mis dans toutes les chaumières. Merci. http://www.youtube.com/watch?v=M5kk9z_SHG4&hd=1
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